Regarde camarade, regarde mon enfant, La mer ainsi ridée comme le front d’un titan. C’est le vent qui égrène l’écume de nos vies, Pour n’être plus de soi qu’une parfaite hérésie. Une forêt de souvenirs[…]
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Regarde camarade, regarde mon enfant, La mer ainsi ridée comme le front d’un titan. C’est le vent qui égrène l’écume de nos vies, Pour n’être plus de soi qu’une parfaite hérésie. Une forêt de souvenirs[…]