L’impertinent

Ô toi mon beau soleil
Ta lumière s’est jaunie
Ton culot est un spectre
Qui suit mes insomnies.

Sans pitié, bel empereur
Tu marches sur mon coeur
Tu polues l’âme des purs
Tu croques à mes blessures.

Ô toi que j’ai aimé
Ô toi qui le savait !
Je suis une terre brûlée
Gisant là, embrasée.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *